Une Nouvelle-Calédonie sur le qui-vive
La Nouvelle-Calédonie est sur le qui-vive. L’archipel du Pacifique, surpris par des violences dévastatrices il y a quatre mois, se prépare pour une célébration de la citoyenneté qui pourrait être sous tension. Le couvre-feu, bien que récemment assoupli, a été renforcé : jusqu’au mardi 24 septembre, les habitants sont priés de ne pas circuler entre 18 heures et 5 heures du matin. La vente d’alcool à emporter est également interdite, tout comme les rassemblements.
Les forces de l’ordre sont en alerte. « Il y aura six mille policiers, gendarmes et militaires sur le terrain. C’est sept fois les effectifs dont nous disposions le 13 mai », déclare Théophile de Lassus, le directeur du cabinet du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie. Des « colonnes de déblaiement » seront également prêtes à intervenir pour détruire d’éventuels barrages.
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La Fête de la citoyenneté : un événement contesté
Officiellement appelée « Fête de la citoyenneté » depuis 2004, cette journée marque la prise de possession de la Nouvelle-Calédonie par la France en 1853. Pourtant, cette commémoration n’est pas sans controverse. Alors que cette date a longtemps été célébrée comme le « rattachement à la France », terme éludant la question de la colonisation, l’émergence de la revendication indépendantiste dans les années 1970 a changé la donne.
Ainsi, à partir de 1974, les indépendantistes ont commencé à parler de « jour de deuil du peuple kanak ». Aucun appel à manifester n’a été lancé par le camp indépendantiste pour le 24 septembre. Cependant, les grands chefs coutumiers réunis au sein de l’association Inaat Ne Kanaky entendent prononcer une « déclaration unilatérale de souveraineté » sur les chefferies lors d’une cérémonie sur l’île de Maré.
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Un climat tendu et incertain
La situation reste toutefois très instable dans l’archipel. La mort récente de deux hommes lors d’une opération de gendarmerie a ravivé les tensions. Des affrontements avec les forces de l’ordre ont eu lieu dans les quartiers sensibles de Nouméa et sa banlieue. La colère gronde aussi hors de l’agglomération. À Bourail, la grande case qui marque l’entrée du domaine de Deva, appartenant à la province Sud, a été incendiée.
Tout cela contribue à un climat d’incertitude et de tension à l’approche de la Fête de la citoyenneté. C’est un événement qui suscite des sentiments contradictoires parmi les habitants de la Nouvelle-Calédonie, et qui cette année, semble être une source d’appréhension pour beaucoup.
Voici quelques faits clés à retenir :
- La Fête de la citoyenneté a lieu chaque année le 24 septembre et marque la prise de possession de la Nouvelle-Calédonie par la France en 1853.
- Cette commémoration a été contestée depuis les années 1970 par les indépendantistes qui la considèrent comme un « jour de deuil pour le peuple kanak ».
- Le climat est tendu à l’approche de la fête de cette année, en raison de récentes violences et de mesures de sécurité renforcées.
Quelle situation tendue ! J’espère que tout se passera bien.
Je ne comprends pas les raisons de cette tension, peut-on m’expliquer ?
Les indépendantistes ont-ils des revendications justifiées ?
Que fait le gouvernement pour apaiser les tensions ?
Avec tout ces policiers, il y a de quoi être sur le qui-vive !
Je trouve que c’est une bonne chose que le gouvernement renforce la sécurité.
Les habitants sont-ils vraiment en sécurité avec tous ces policiers sur le terrain ?
Une vente d’alcool interdite ? Ça promet d’être une fête bien triste…
Je trouve triste que la Fête de la citoyenneté soit source de tensions.
Est-ce que cette fête a toujours été source de conflits ?
C’est vraiment dommage que cette fête ne soit pas une célébration pour tous.
Quelle est l’origine de cette fête exactement ?
J’espère que cette année, la fête sera un moment de rassemblement pour tous les habitants de la Nouvelle-Calédonie.
Est-ce que les habitants adhèrent vraiment à cette fête ?
La situation semble vraiment tendue, j’espère que tout se passera bien.
J’espère que cette fête sera l’occasion de faire un pas vers l’apaisement.
Je trouve que c’est une bonne chose de renforcer la sécurité, mieux vaut prévenir que guérir.
Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement insiste pour maintenir cette fête si elle est source de tensions.
J’aimerais bien comprendre les enjeux de cette fête pour les indépendantistes.
Il serait temps de trouver une solution pour apaiser les tensions dans l’archipel.
Je suis inquiet pour les habitants de la Nouvelle-Calédonie.
J’espère que cette année, la fête sera l’occasion de faire un pas vers l’apaisement.
Je trouve que c’est une bonne chose de renforcer la sécurité, mieux vaut prévenir que guérir.
Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement insiste pour maintenir cette fête si elle est source de tensions.
J’aimerais bien comprendre les enjeux de cette fête pour les indépendantistes.
Il serait temps de trouver une solution pour apaiser les tensions dans l’archipel.
Je suis inquiet pour les habitants de la Nouvelle-Calédonie.
Les autorités devraient travailler plus pour l’apaisement des tensions.
Je ne comprends pas pourquoi les indépendantistes sont contre cette fête.
La tension est palpable même dans l’article.
Est-ce que cette fête a toujours été source de conflits ?
La situation semble vraiment tendue, j’espère que tout se passera bien.
Est-ce que les habitants sont en sécurité malgré la tension ?
La situation est préoccupante. Que fait le gouvernement pour apaiser les tensions ?
Les habitants sont-ils vraiment en sécurité avec tous ces policiers sur le terrain ?
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Que fait le gouvernement pour apaiser les tensions ?
Est-ce que cette fête a toujours été source de conflits ?